06/11/2017
Le Voyageur
Elle a tout pris, vieille âme nue aux traits juvéniles.
Le meilleur et le pire de nos campagnes viles.
Et si toutes ces saisons aux couleurs d’ardoise,
Inspirent Le Poète, l’Eternité le toise !
Il avance, titube, et peut-être courbe l’échine,
En quête, "maudits breuvages", d’une source divine !
Il parle haut d’Orient, de Byzance et de Chine !
De quel siècle nous vient cette voix orpheline ?
J’ai vu son ombre bleue, glisser vers le vieux port.
C’est au loin qu’il espère, voir son rêve éclore !
20:45 Publié dans * Poèmes | Lien permanent | Commentaires (0)
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