05/08/2012
Rêveries d’une promeneuse solitaire
Un calice se glisse dans les interstices de tes songes lisses…
Est-ce la roue des paons qui est à blâmer ou la mélasse qui englue les plus tenaces ?
Elise court derrière ses loups, craignant leurs crocs, sous le regard acide des renards vénaux…
Au fond de toi, un être s’insurge et croît, s’acharne à doser ses mots épars, s’il le faut, tel une faux qui s’égare sur ses maux puis repars !
Les lys de tous les rois ne suffiront pas à ralentir l’hélice de ta foi aux charmes niés car déjà tu prends ton envol, loin des abysses fols !
12:03 Publié dans * Poèmes | Lien permanent | Commentaires (0)
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