Périple au Nord

 

Dans le reflet de ce lac d’or,

J’emplis mes nuits, dés son abord,

Je purge mes songes des désaccords,

Hors des vallées rudes que j’abhorre…

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Quand les étoiles quittent le port,

La voie lactée trompe la mort,

La mélopée de Maldoror,

Berce les derniers rêves d’Hathor…

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Et sur un lit de boutons d’or,

J’abandonne à ce doux décor,

L’astre sombre de mes remords,

Loin d’un destin, qui lui, s’endort…

City Lights

 

Tourbillon de cent mille feux,

Métropolis tentaculaire !

Je veux rentrer dans le jeu,

De ce cobra spectaculaire !

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Ah ! Suivre ce ballet hypnotique,

Serpentant sur le bitume !

Electrons au rythme mécanique,

Et dans l’asphalte, tremper ma plume !

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Défi aux ténèbres du monde,

L’Agora exige à grands cris,

Un soleil qui hurle sous les trombes,

Qu’ici jamais rien ne finit !